Il existe de nombreuses de maladies et infections sexuellement transmissibles de nos jours. Chlamydia, VIH ou encore gonorrhée, les rapports sexuels non protégés deviennent de plus en plus risqués de nos jours. Ces derniers mois, une infection sexuelle revient très souvent surtout chez les hommes. Il s'agit de la gonorrhée et c'est d'ailleurs cette dernière qui fera l'objet de notre article du jour. Symptômes, causes et surtout traitement on vous dit tout dans notre article consacré à la gonorrhée.
Qu'appelle-t-on gonorrhée ?
Encore appelée blennorragie, chaude pisse ou encore chtouille, la gonorrhée ou encore la gonococcie est une infection sexuelle qui touche aussi bien les hommes que les femmes. En effet, bien qu'elle touche beaucoup plus les hommes, cette pathologie sexuelle a son lot de conséquences chez la femme. Elle est due à une bactérie que l'on appelle le gonocoque et qui se transmet lors des rapports sexuels non protégés comme vous l'avez compris.
Elle peut être contractée lors de n'importe quel type de rapports sexuels. Pénétration (vaginale ou anale), fellation ou encore cunnilingus, aucun rapport sexuel n'est à exclure. D'ailleurs en France, il a été constaté que la fellation et le cunnilingus sont les deux pratiques sexuelles qui entraînent le plus des cas de gonorrhée. Cette statistique n'exclut en rien les autres pratiques sexuelles qui sont tous autant à risque.
Comment se manifeste la gonococcie ?
Vous attendez sûrement de connaître les symptômes de la gonorrhée afin de savoir si vous en manifestez quelques-uns après votre soirée arrosée de la dernière fois où vous avez fini la soirée avec une parfaite inconnue n'est-ce pas ? Eh bien sachez que la gonorrhée peut ne pas présenter de symptômes et être asymptomatique. Vous avez donc la bactérie dans votre organisme sans en manifester les symptômes. Ce manque de symptômes ne vous rend pas incapable de transmettre la maladie au contraire. Vous êtes toujours une personne contagieuse.
Par contre, lorsque les symptômes apparaissent, ils sont bien visibles. Un homme qui souffre de gonococcie se plaindra de picotements ou de brûlures en urinant, ou d’écoulements blanchâtres au niveau du pénis ou du rectum. Chez la femme, c'est aussi pareil. La gonorrhée peut ne pas manifester de symptômes. Mais lorsque c'est le cas, une femme infectée souffre de douleurs en urinant ou pendant les rapports sexuels, d’écoulements vaginaux jaunâtres ou sanguinolents et de maux de ventre.
Complications possibles de la gonorrhée
Lorsqu'elle n'est pas traitée, une infection due au gonocoque peut évoluer vers des formes compliquées que ce soit chez la femme ou chez l'homme. Chez ce dernier par exemple, une gonorrhée non traitée peut provoquer une inflammation de la prostate ou de l'épididyme qui peuvent avoir des répercussions sur la fertilité masculine.
C'est chez la femme que des complications liées à une gonococcie sont les plus fréquentes car la maladie est très souvent asymptomatique chez ces dernières. En absence de traitement, une femme souffrante de la gonorrhée peut souffrir de maux de ventre chroniques, d'une inflammation de l'utérus ou des trompes de Fallope. Ces complications sont plus tard à l'origine des problèmes de fertilité de la femme.
Et si une grossesse intervient malgré la présence de l'infection, elle peut se dérouler hors de l'utérus. On parle de grossesse ectopique. Dans le cas où la grossesse va jusqu'à terme, il est possible que la gonorrhée soit transmise au nouveau-né au moment de l'accouchement. Cette dernière provoque une infection des yeux chez le nouveau-né pouvant aller jusqu'à une cécité.
Les scientifiques estiment aussi que la gonorrhée expose également à un risque accru d’infection par le VIH/sida (estimé 3 à 6 fois supérieur).
Causes de la chaude-pisse et prévention
Comme on vous l'expliquait plus haut, la gonorrhée est due à une bactérie que l'on appelle le gonocoque ou encore le Neisseria gonorrheae dans son nom scientifique. Il s'agit d'une bactérie qui se transmet par rapports sexuels non protégés peut importe le type (cunnilingus, fellation, pénétration vaginale ou anale).
Prévention
Puisqu'il s'agit d'une infection sexuellement transmissible, la meilleure manière de la prévenir est de pratiquer des rapports sexuels protégés. Vous me diriez très certainement qu'il serait difficile de pratiquer des rapports sexuels protégés avec votre partenaire et cela se comprend. Si tel est le cas, il est conseillé de vous faire dépister à une fréquence régulière afin de vous assurer que vous êtes tous les deux en bonne santé.
Par contre, si vous devez avoir des rapports avec une personne autre que votre partenaire ou tout simplement un(e) parfait(e) inconnu(e) privilégiez des rapports protégés. Vous vous préserverez et vous préserverez aussi la santé de votre partenaire par la même occasion. Pour vous protéger, le choix à faire est bien sûr l'usage des préservatifs. Il en existe de divers types. À vous de trouver ceux qui vous conviennent le plus à vous et à votre partenaire.
Qui peut souffrir de la gonococcie
Toute personne pratiquant les rapports sexuels peut souffrir de la gonorrhée.
Cependant, certaines personnes ont plus de risques de contracter la maladie comme :
les hommes entre 21 et 30 ans et les femmes entre 16 et 25 ans ;
les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes (HSH),
les personnes infectées par le VIH/sida ;
les personnes ayant des pratiques à risque (multiples partenaires sexuels, utilisation inconstante des préservatifs, fellation non protégée).
Gonorrhée : quelles mesures de prévention ?
Il n'existe pas de vaccin pour la gonococcie. De plus, la bactérie responsable de l'infection fait partie des plus résistantes aux antibiotiques. Il est donc conseillé de vous protéger lors de vos rapports sexuels même lorsque vous pratiquez le cunnilingus ou encore la fellation. C'est la seule prévention disponible contre la gonorrhée outre l'abstinence.
Le fait que le gonocoque (bactérie responsable de la gonococcie) fasse partie des bactéries capables de s'adapter aux divers antibiotiques ne fait pas de la maladie une maladie incurable. Il est tout à fait possible de guérir de la chaude pisse surtout avec les divers traitements naturels disponibles de nos jours.
Traitement de la gonorrhée par antibiotiques ou par solution naturelle
Si vous optez pour un traitement à base d'antibiotiques pour venir à bout de la bactérie responsable de l'infection, vous aurez à consommer de la céphalosporine souvent en dose unique ou de la ceftriaxone par voie injectable. Il est également possible que votre médecin vous administre de la céfixime par voie orale.
Ce sont des antibiotiques utilisés pour traiter les infections dues à des bactéries par exemple. L'efficacité de ces antibiotiques sera perçue au fil du traitement et de l'évolution du patient. Si vous préférez une solution naturelle et ponctuelle (car le traitement par antibiotiques peut prendre beaucoup de temps), nous avons ce qu'il vous faut. Un traitement 100% naturel à base de plantes naturelles soigneusement étudiées.
Il s'agit d'un traitement de trois (03) mois composé de plantes disposant entre autres de propriétés antirétroviraux. Grâce à ces propriétés et aux nombreux autres, notre traitement naturel contre la gonococcie va éliminer la bactérie responsable de la maladie, va renforcer votre système immunitaire ainsi que votre organe sexuel.
Chez la femme, ce traitement va nettoyer en profondeur le vagin en plus de vous débarrasser de la bactérie. C'est donc un traitement 3 en 1 pour la femme puisqu'il va aussi renforcer les défenses immunitaires. Pour entrer en possession de ce traitement, il vous suffit de nous contacter par WhatsApp juste ici.
COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON LA GONORRHÉE ?
Le diagnostic de la gonorrhée se fait à partir d’une analyse d’urine ou d’un prélèvement fait en passant un coton-tige (écouvillon) sur les organes touchés (urètre, vagin, rectum, gorge). Ce prélèvement est envoyé dans un laboratoire d’analyse pour identifier la bactérie et de rechercher une éventuelle résistance au traitement antibiotique.
En cas de diagnostic de gonorrhée, un dépistage des autres infections sexuellement transmissibles (IST) est recommandé.
De plus, le patient est invité à contacter ses partenaires sexuels récents afin qu’ils fassent un test de dépistage et reçoivent, le cas échéant, un traitement antibiotique. Il faut s’abstenir de tout rapport sexuel non protégé dans la semaine qui suit la prise d'un traitement en dose unique ou pendant toute la durée du traitement si celui-ci est plus long.
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